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Yvan Colonna a dénoncé mercredi, au troisième jour de son nouveau procès devant la cour d’assises spéciale de Paris, un “montage à charge” contre lui lors de l’instruction sur l’ assassinat du préfet de Corse Claude Erignac en 1998. “Bien que ce soit la troisième fois que je passe devant une cour d’assises, c’est toujours aussi intimidant et stressant”, a déclaré Yvan Colonna.
S’exprimant pour la première fois durant ce procès sur les faits qui lui sont reprochés, il a qualifié de “document à charge” l’acte d’accusation qui avait été lu la veille. “Ca me rappelle les heures pénibles que j’ai vécues avec les juges d’instruction, Gilbert Thiel et Laurence Le Vert”, a-t-il ajouté. Selon lui, les deux juges à cette époque “assènent des vérités, ne me mettent jamais en position de m’expliquer”.
“Tout un montage a été fait à charge”, a-t-il affirmé. “Vous contestez donc les faits qui vous sont reprochés, tant l’assassinat du préfet que l’attaque de la gendarmerie de Pietrosella?” lui a demandé le président. “Evidemment!, a répondu Colonna. La cour d’assises a ensuite entamé l’examen de sa personnalité. Contrairement à ses deux précédents procès, où il avait rechigné à se livrer, Colonna a levé le voile sur son intimité. Il a longuement parlé de sa vie personnelle, réfutant que son récent mariage en prison soit un “plan com” destiné à améliorer son image.
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