Incontestablement, il s’agit d’une rentrée particulière pour Antoine Aiello : sa dernière en tant que président d’une université dont il conduit la destinée depuis neuf ans. Il sera temps pour lui, d’ici l’élection de son successeur en février prochain, de se livrer au bilan le plus large de cette décennie. En attendant, le président qu’il reste évoque l’année universitaire qui s’ouvre. Pas la moins importante en terme de révision de l’offre de formation et de structuration de la recherche. Antoine Aiello effleure aussi la question de son avenir, qu’il envisage nulle part ailleurs que sur le campus.
Quel est votre état d’esprit à l’occasion de votre dernière rentrée de président ?
Concentré sur les moments importants que l’université est en train de vivre. L’école d’ingénieurs que nous venons d’ouvrir n’est pas le moindre. On ne peut s’empêcher de faire le parallèle avec la médecine. Peu nombreux étaient ceux qui y croyaient, pas plus qu’en l’UMR consacrée aux sciences humaines et sociales, et pourtant. Pour nous, c’est un signe supplémentaire envoyé à la société corse pour lui faire comprendre que la culture de l’impossible a aussi ses limites.
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