Le débat a déjà eu lieu. Sans jamais trouver de réponse définitive. Comment sortir de la spirale de violence(s) où la Corse s’englue année après année ? Comment faire cesser les litanies d’assassinats ? Comment panser les plaies de familles endeuillées sans tomber dans une société fondamentalement liberticide ? Quelles sont les causes réelles d’un état de fait qui semble irréversible ?
La Ligue des droits de l’homme a eu le mérite de poser les termes de l’échange. En invitant une société à se pencher sur elle-même. Dans la salle de l’Espace Diamant, se côtoyaient les politiques, les intellectuels, les acteurs économiques, associatifs ou religieux et les citoyens. À la tribune, autour d’André Paccou, Frédérique Campana, ancien bâtonnier du barreau d’Ajaccio, Me Jean-Sébastien de Casalta du barreau de Bastia, le père Gaston Pietri et Roger Antech, rédacteur en chef de Corse-Matin.
Quelques mots de chacun des intervenants sur les problématiques de violence. Du point de vue de la morale chrétienne, au plan judiciaire et par rapport à l’information qu’elle génère.
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