L’ex bourgeois révolté, PSU et para, révolutionnaire de posture et apparatchik réactionnaire, parvenu à la tête de la Ligue par des manœuvres propres à la Vème république décadente, poursuit d’une haine bien française le Sporting de Bastia.
Cette haine si ordinairement mesquine, si terriblement vichyste, si peu conforme à la prétendue élégance morale des cénacles parisiens censés éclairer les foules, cette haine ne s’est pas trompée d’objet : elle sanctionne délibérément le club que les Corses considèrent-consciemment ou non-comme leur équipe nationale, à l’heure où la laborieuse équipe de France ridiculise quotidiennement le nationalisme français et démontre cruellement les limites du patriotisme « bleu, blanc, beur ».
Comme les Corses tout au long de leur histoire, le football corse accueille et intègre naturellement tous ceux qui « viennent s’asseoir à son foyer » ; il n’a besoin pour cela ni d’ukases, ni de textes de lois. Pas plus qu’il n’a besoin de mesures anti violences comme ce peut être le cas au Parc des Princes ; les seuls auteurs de réelles violences sur nos stades, ce sont les CRS ! Apparemment, il ne sert à rien de raisonner avec ceux qui sont aveuglés par une haine si peu républicaine.
Les sanctions comparées de ceux qui comparaissaient devant la commission Thiriez-Garibian, montrent bien à quel point il s’agit là d’un enjeu idéologique et que le verdict prononcé va dans le droit fil d’une stratégie de mise au pas initiée par le pouvoir politique !
Ghjacumu Faggianelli
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