Dui farri a u caldu é megliu chè unu… autrement dit pour ceux (même du STC) qui ne comprendraient pas a lingua nustrale, il vaut mieux garder deux fers au chaud en période de pression syndicale. C’est le cas du STC qui est allé au charbon avec l’ARS et paraît même prêt à souffler sur les braises avec les chemins de fer…
Les responsables du Sindicatu di i travagliadori corsi ont dénoncé, hier lors d’une conférence de presse, « la procédure choisie par la CTC d’un appel d’offres pour une DSP sans définition en amont de l’entité juridique des CFC et l’élaboration d’un cahier des charges irréaliste nous ont conduit dans une impasse. En effet le coût pour la CTC d’une société type anonyme ou mixte, reprenant le contrat des CFC oscillerait entre… 48 et 65 millions d’euros annuellement pour un plan de transport équivalent ».
Et Jean Brignole, le secrétaire national du STC, de préciser « c’est bien ce que nous avions prévu, avec des recettes stagnantes et une explosion des budgets de fonctionnement (aujourd’hui à 14 ME). Sans véritable stratégie dans des domaines essentiels (sécurité, maintenance, investissements, etc…) les CFC seront à nouveau marginalisés…»
source et suite de l’article : http://www.corsematin.com/article/derniere-minute/cfc-le-stc-plaide-pour-un-epic-sous-tutelle-de-la-ctc
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