Le juge Claude Choquet a remis Lisandru Plasenzotti en liberté. Quatre mois et demi après avoir été mis en examen pour association de malfaiteurs, infraction à la législation sur les armes et infraction à la législation sur les stupéfiants, le jeune surveillant du collège Arthur Giovoni a été placé sous contrôle judiciaire. Un contrôle judiciaire assez « souple ».
« Il devra se rendre une fois par mois à la gendarmerie pour pointer et ne pas sortir du territoire national », énonçait son père, quelques heures avant sa sortie de prison.
Que s’est-il passé de nouveau dans le dossier de la cache d’armes découverte le 19 avril 2011 à Ajaccio ? Apparemment pas grand-chose. Quels éléments déterminants le magistrat instructeur a-t-il recueilli ? Dès l’origine de l’affaire on a évoqué une trace ADN, de source proche de l’enquête. De l’ADN que le juge a, manifestement eu du mal à retrouver…
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