Les associations GARDE et U Levante à la presse : Réponses, sans avoir le jugement en mains, aux informations annoncées dans Corse Matin et différents médias corses :
1 – Ce ne sont pas des « abris pour scooters » de 50 m2 mais deux structures d’accueil et de restauration (avec chef en toque), d’une superficie de 179 m2 selon le PV de gendarmerie. Destinées à recevoir du public, elles ont été édifiées sur le littoral de Coti Chjavari, dans la bande des 100 mètres, dans un espace vierge de toute autre construction et de toute ruine. Voir site internet « Julien jet », lieu dit Saparella.
2 – C’est le Procureur de la République, après PV de gendarmerie, qui a porté l’affaire devant les tribunaux… c’est donc l’Etat le premier débouté.
3 – Deux associations et non une seule se sont constituées parties civiles, à la demande du procureur, le GARDE et U Levante.
4 – Après une première demande de régularisation de permis refusée, une deuxième demande de régularisation a autorisé les constructions, sous la signature du Préfet Bouillon, la veille de son départ de Corse.
5 – Le Schéma d’Aménagement de la Corse de 1992 s’applique ; il a valeur de directive territoriale d’aménagement. Depuis 2002, les associations ont gagné plusieurs dossiers en s’appuyant notamment sur ce S.A.C.
6 – Le tribunal se serait déclaré incompétent sur l’action civile.
7 – Les associations font appel de ce jugement.
Les associations regrettent que des informations erronées aient été publiées par des médias.
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