L’ancien patron de la sous-direction antiterroriste Frédéric Veaux est venu à la barre pour maintenir ses positions : non, la défenestration de Dominique Pasqualaggi n’est pas due à une “pression policière”.
Au quatrième jour du procès Pasqualaggi et du FLNC du 22 Octobre qui se tient devant la cour d’assises spécialement composée de Paris, l’antiterrorisme est revenu hier sur la journée du 14 juillet 2007.
Ce jour-là, Dominique Pasqualaggi était interrogé par deux policiers au troisième étage des anciens locaux de la rue des Saussaies. Les deux enquêteurs vont lui retirer ses menottes, il sautera de 12 mètres et sera entre la vie et la mort avant de rester paraplégique. Celui qui est présenté comme le chef de la cellule du 22 Octobre ne se souvient de rien.
Au quatrième jour du procès Pasqualaggi et du FLNC du 22 Octobre qui se tient devant la cour d’assises spécialement composée de Paris, l’antiterrorisme est revenu hier sur la journée du 14 juillet 2007.
Ce jour-là, Dominique Pasqualaggi était interrogé par deux policiers au troisième étage des anciens locaux de la rue des Saussaies. Les deux enquêteurs vont lui retirer ses menottes, il sautera de 12 mètres et sera entre la vie et la mort avant de rester paraplégique. Celui qui est présenté comme le chef de la cellule du 22 Octobre ne se souvient de rien.
*Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :
Comments are closed.