Elle aurait tout aussi bien pu mal tourner, Anne Marchetti. Imaginez, devenir journaliste ! Ce n’est pas passé loin mais la voie pâtissière l’a sauvée des rédactions. Tout commence avec l’arrivée d’un paquet de farine de châtaigne. Pour une Corse, ce n’est pas si étrange. Mais il va falloir en faire quelque chose. Des petits sablés par exemple. Famille et amis en redemandent. Et qu’est-ce que tu fais pour les vacances ? T’as changé d’adresse ? Ben non. Toujours à Porto-Vecchio. Fais donc des biscuits pour les épiceries du coin alors. Anne se dit qu’il y a une petite place à se faire dans le créneau de l’épicerie fine et de la biscuiterie haut de gamme. Nous sommes en 2005.
Noir de travail, tablier, et la voilà chez Lenôtre, en formation. Or il y a un truc qu’il faut savoir, c’est que la cantine de Lenôtre, c’est pas le self de la Tour PB6 du parvis de la Défense…. Non non, c’est plein de macarons à volonté ! Bref, pas méfiante, Anne tombe dedans même si elle n’était plus trop petite.
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