Comment allez-vous aborder ce dossier, globalement ou prendre en charge un aspect particulier de la défense d’Yvan Colonna ?
Globalement. Les connaissances que nous avons du dossier, les différences qui sont les nôtres, tout ça ne peut être, au final, qu’un travail collectif de la défense d’Yvan Colonna. On ne peut faire l’économie de certains éléments du dossier, j’ai une conception globale des choses.
Un procès, c’est quelque chose de vivant : au fil de l’audience, des éléments vont se développer et chacun aura la possibilité d’intervenir. Il n’y a pas de cloisonnement entre les uns et les autres.
Quels commentaires vous inspirent les différentes procédures engagées jusqu’ici ?
Aucun, je n’ai pas l’habitude de commenter les choses que je n’ai pas vécues, des débats auxquels je n’ai pas assisté. Ce que je sais des précédents procès, je l’ai appris par voie de presse, car je n’étais pas l’avocat d’Yvan Colonna. En revanche, j’ai vécu les deux procès de Jean Castela et Vincent Andriuzzi en 2003 et 2006 (1).
Source et suite de l’article : http://www.corsematin.com/article/justice/me-dupond-moretti-la-parole-dyvan-colonna-ce-nest-pas-rien
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