Les territoriales restent l’objectif majeur de Une nouvelle Corse. Jean-Martin Mondoloni dit que rien n’est tranché quant à la participation aux législatives. Des hypothèses sont étudiées.
Après dix-huit mois d’existence, le mouvement Une nouvelle Corse fait-il son chemin comme vous l’espériez ?
Notre démarche est désormais comprise et structurée. Chaque jour qui passe nous conforte dans l’idée qu’il existe bien une « droite autonome » décomplexée, à distance des appareils parisiens et capable de rompre avec le système dynastique.
Le fait de ne pas avoir d’élus, donc de tribune officielle, c’est un handicap pour un jeune mouvement qui veut faire entendre son message ?
C’est vrai, mais il faut relativiser cette question dans la mesure où nous avons été rejoints par des conseillers généraux, des maires, et n’oublions pas que Marie-Antoinette Santoni-Brunelli, membre fondatrice d’UNC, siège à l’assemblée de Corse, même si son élection est antérieure à la création de notre mouvement. Son comportement est d’ailleurs courageux. Elle s’est notamment distinguée en votant, seule, contre le budget supplémentaire.
Sur le terrain, comment se déroulent les rencontres entre UNC et la population qui doit forcément s’interroger sur la lisibilité politique ?
Il faut d’abord rappeler que nous ne partons pas de zéro. Notre démarche n’était pas spontanée mais demandée, voire exigée par de nombreuses personnes…
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