Victime d’un très lourd handicap et coupable d’un acte horrible : le détenu évoluerait dans un univers inadapté aux soins qui lui sont nécessaires. Son avocat exige qu’on le relâche. Explications.
Jugé pour un acte sordide, puis condamné à l’enfer. Dominique Pasqualaggi est lourdement handicapé, depuis sa chute le 14 juin 2007 du troisième étage des locaux de la sous-direction de l’antiterrorisme. Dilacération des viscères, fractures des vertèbres provoquant une paralysie du membre inférieur… Ses conditions de vie ne cessent de se détériorer en même temps que son corps en prison.
Verdict. Sa condamnation est tombée une première fois le 10 juin 2010 à Bastia, puis une seconde fois en appel 23 mars 2011 à Ajaccio, notamment pour avoir « frauduleusement soustrait de l’argent au préjudice de Joseph Vincensini, avec circonstance que les faits ont été précédés, accompagnés, suivis de violence ayant entraîné la mort de la victime ». Résultat : 18 ans de réclusion criminelle.
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :
Comments are closed.