Chers amis, Avec l’abrogation des arrêtés Miot du 10 juin 1801, la Corse s’apprête à connaître un Tsunami. Ce choix spéculatif voulu par les parlementaires UMP, avec la complicité silencieuse de la gauche, est un coup bas porté à la Corse.
Dès le mois de janvier 2013, les services fiscaux, administratifs et judicaires sous la conduite de leurs Ministres respectifs vont imposer aux familles Corses la sortie de l’indivision et taxer les successions.
Ainsi donc, les Corses qui voudront sauver leurs biens familiaux seront contraints de casser leur tirelire. Dans cette marche fiscale forcée, les Corses les plus modestes risquent tout simplement d’être spoliés de leurs biens ancestraux.
D’un côté des Corses qui ne pourront plus bâtir sur leurs terres et transmettre à leurs enfants. De l’autre, des migrants avides d’affaires et de soleil qui voudront imposer leur vision et schéma à des Corses devenus apatrides chez eux.
Cette situation déstabilisatrice et unique faite à la Corse, va attirer bons nombres de marchands de rêve (spéculateurs, affairistes, maffieux..) et la plonger dans une crise morale profonde. Si l’indivision n’a pas favorisé son développement, elle a préservé son environnement et coupé l’herbe à une bétonisation anarchique de l’île.
Oui, soyez-en sûrs, cette modification législative qui se dessine va engendrer une opposition frontale des Corses contre cette agression, avec comme 1ère conséquence une flambée de violence.
Il faut tous ensemble refuser cette logique mortifère, faire le choix d’une Corse démocratique, prospère et apaisée. C’est le sens de notre engagement au côté de Paul QUASTANA et Michel GIRASCHI qui sont les seuls à solliciter le transfert à l’Assemblée de Corse d’un pouvoir législatif en matière fiscale et économique. Unique moyen pour maintenir les arrêtés Miot.
Avec Paulu QUASTANA
Des Corses maîtres chez eux..!
François FILONI
Président d’Ajaccio Énergie.
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