Un an après sa création, Une Nouvelle Corse, n’est selon Jean-Martin Mondoloni « plus un objet de curiosité, mais un objet d’engagement ». Si l’on considère les 200 personnes qui avaient fait le déplacement à l’hôtel Campo de’ll Oro hier, il n’a peut-être pas tort.
L’UNC poursuit son épopée. S’il est trop tôt pour en fixer le dénouement, ce mouvement conduit par Jean-Martin Mondoloni, Marie-Antoinette Brunelli-Santoni, Pierre Marcellesi, Paul Ousset, Michel Piferini, Christophe Mori et Sylvain Fanti, plan après plan, continue d’en écrire le scénario.
« Un début de réponse »
Après avoir fondé, l’UNC puis avoir entamé un tour de Corse, afin d’expliquer leur démarche, ses membres avaient choisi de souffler hier à Ajaccio, la première année de son existence. « Lorsque nous construisons un mouvement, on a toujours l’angoisse de savoir ce qu’il va bien pouvoir donner et quelle traduction il va avoir dans la rue. Aujourd’hui, nous avons un début de réponse, estimait Sylvain Fonti.
Comments are closed.