Après les déclarations fracassantes du trublion qui crie à la « censure » de ses films, les professionnels font la part des choses. Un jugement du tribunal administratif de Bastia leur donne raison.Il avait déployé il y a quinze jours sur les ruines du Ponte-Novu, au nom de l’intersyndicale du cinéma corse, une bannière assassine. Dénonçant la « censure de la totalité de ses films se réclamant du cinéma corse contemporain ». Sylvain alias « Magà » Ettori accusait le comité technique du film de la CTC d’être « juge et partie. » De se livrer à une chasse aux sorcières. Et soulevait le fait que son film I Tercani, n’avait pas été subventionné. Affichant une pétition de 700 signatures.
Au-delà de la politique menée, Magà Ettori trublion à la chevelure flamboyante, et à la barbe rousse, visait aussi des membres de l’instance tels André Stefanaggi ou François Barrat mais aussi des producteurs. La filière audiovisuelle a accusé le coup. La justice annule l’élection du CESC Elle est sortie de sa réserve, armée d’un jugement du tribunal administratif de Bastia en date du 16 mars 2012.
Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :
Comments are closed.