Le 22 Janvier 2009 : (14:37 Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org – Corse – Lutte de Masse) L’augmentation de la population insulaire saluée par les tenants de la colonisation de peuplement et de la francisation à outrance ne représente pas selon le site internet Corse Economie un bon modèle de développement économique. Non seulement, la disparition du peuple corse est programmée depuis des années, mais aussi sa survie économique afin d’accentuer cette dépendance vis-à-vis de la France.
Dès les années 80, le constat est édifiant et les nationaux alertaient le peuple corse à travers la diffusion d’un document d’analyse générale : “La dépendance est totale pour tout ce qui est à la base d’une société : l’Energie, l’alimentation. Les moyens de transport, les outils et les machines, les médicaments et les équipements de sante… La plus grande partie de ce qui est vital pour le peuple Corse est importée de l’extérieur.
La dépendance économique est accentuée parce que les seules activités qui marchent peu près sont a la remorque éléments extérieurs le tourisme, le bâtiment, quelques productions agricoles (le vin, les clémentines). Pour ces activités, dépendance veut dire fragilité.”
La dépendance ne tombe pas du ciel. Comme une chaine, tous les maillons ont été forgés dans l’histoire ancienne et récente. L’agriculture et l’élevage ont été ruinés. L’artisanat et la petite industrie ont été détruits. L’insularité est devenue un handicap pour les plus grands profits des exportateurs français. L’économie Corse est vidée de sa substance.
La chaine de la dépendance est mise en place : elle contraint le peuple Corse a l’exil et à la disparition.
Ce type de développement signifie la mort de notre peuple. Travailler, c’est édifier son pays. La Corse appartient aux Corse, C’est eux qui l’ont préservée, fertilisée, construite au cours des siècles. C’est à eux seuls de la développer.
Tous les jours, poussés par le chômage, de nombreux Corses doivent s’exiler alors que les non-Corses débarquent en masse avec leurs emplois réservés.
Ainsi, d’année en année, le peuple Corse se dilue un peu plus pour finir un jour par être définitivement absorbe par les allogènes (NDLR : dans le texte d’origine) (colonisation de peuplement).
Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
C’est un véritable génocide par substitution que subit le peuple Corse actuellement. A rythme-là, si rien n’est change, dans quelques années, notre peuple sera réduit a des dimensions de petite tribu.
Les rescapés qui la composeront, classés pourquoi pas « espèce protégée » feront la Joie des ethnologues et des touristes en mal d’exotisme.
Le peuple Corse est en danger de mort
Ce bilan s’aggrave (autant plus si l’on sait que pour 1 600 naissances Corse (2 600 en tout), il y a 1 000 décès.
40% des communes rurales ont enregistre 300 décès pour aucune naissance certains villages de l’intérieur sont complètement mort.
Plus de décès que de naissances – Vieillissement – Inactivité
La force d’une nation se mesure à sa population active
Les Corses sont de moins en moins maitres chez eux
Bientôt tous les postes clés, tous les leviers de commande seront contrôlés par les étrangers”
Voilà une partie de l’analyse du site Corse Economie en 2009 :
En 2006, le taux de natalité était en Corse, estimé par corse-économie, à 1,58 enfants par femme en âge de procréer. An 2000, les décès domiciliés sont à peine moins nombreux que les naissances domiciliées. L’excédent de naissances n’a pas dépassé 100 individus depuis 2001. Le solde naturel de la Corse est quasi-nul, la croissance de sa population ne peut donc être endogène, comme disent les économistes.
Reste que la population croît quand même et fortement. C’est grâce à une forte attractivité en termes d’immigration. Le solde migratoire explique la totalité de cette croissance. Cette immigration doit se comprendre au sens de nouveaux arrivants en Corse, qu’ils soient français ou étrangers.
Le problème de ce modèle démographique est qu’il n’est pas « bon » pour la croissance future de la Corse. En effet, la population corse n’est pas dynamisée par cet afflux, elle continue en fait à vieillir. Ce phénomène est général dans tous les pays européens et ne constitue donc pas une surprise, mais son ampleur est marquée en Corse. Pour se rendre compte de la structure de la population par âge, on peut utiliser les taux de dépendance, c’est à dire le rapport entre une classe d’âge et la population en âge de travailler.
Pour les plus de 64 ans (taux de dépendance = + 65 ans / 15-64 ans), le taux est de 30 % en Corse. Pour les moins de 15 ans, le taux est de 24 %. La population corse est la plus âgée parmi les autres îles qui lui sont comparables.
la suite ici sur le site de Corse Economie
En conclusion, plus que jamais, le constat est clair, le peuple corse est voué à disparaitre ! A FRANCIA FORA ! I FASCISTI FORA !
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