Suite de l’affaire I Muvrini ….. Contre attaque ce midi. L’avocat de la plaignante nous a annoncé que sa cliente faisait appel de la décision rendue en 1ere instance par le TGI de Paris et qu’elle déposait plainte, egalement, pour diffamation contre Jean François Bernardini et son avocats pour diffusion de fausse nouvelle. Me Antoine Gitton affirme que si sa cliente n’a pas entierement obtenue gain de cause, Jean Francois Bernardini a malgré tout été condamné pour plagiat concernant 1 texte. le tribunal a condamné Jean-François Bernardini et les éditions du Seuil à payer à la plaignante 500 euros de préjudice patrimonial et 1.000 euros de préjudice moral. Pour huit chansons, le tribunal reconnaît toutefois que l’absence de crédit attribuant la traduction des paroles à la plaignante dans le fascicule des CD constitue pour cette dernière une “violation de (son) droit moral” qui justifie de lui allouer 2.000 euros de dommages et intérêts. C’est la société AGFB, responsable de la production des disques, qui est condamnée à payer cette somme. Il est donc faux, selon Me Gitton, de dire que les Muvrini ont été blanchi dans l’afffaire de Plagiat débutuée en 2008.
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